Plus tard et principalement au xviie siècle, il faudra l’entendre de cette profondeur particulière que l’esprit chrétien donne à tous les écrits supérieurs sans exception, même à ceux qu’on pourrait appeler profanes, et qui ont tant profité de ces lumières dont la philosophie chrétienne a éclairé l’intérieur de l’homme. […] Dans Rabelais, c’est l’humeur qui trouble les lumières de l’intelligence : dans Calvin, la raison est dupe du raisonnement.