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941. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Nicolas Gogol »

En supposant que la Gloire, qui est une capricieuse, veuille se gargariser jamais avec les deux syllabes du nom de Gogol, les Âmes mortes, ce long poème en prose, feront moins d’honneur à leur auteur que tel petit poème ou telle petite nouvelle, son Tarass Boulba, par exemple, dont relativement on ne parle pas. […] C’est là un malheur dont avoir fait un livre plus long que ceux des autres Russes, qui ont, à ce qu’il paraît, l’haleine courte, ne console pas.

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