Pour le lettré des albums et des livres, promis, espérés, par les longs intervalles de fascicules toujours incomplets. […] Déjà Gautier était impassible, malgré ses larmes, quand il écrivait Les Joujoux de la Morte : La petite Marie est morte, Et son cercueil est si peu long Qu’il tient sous le bras qui l’emporte Comme un étui de violon ; ou les Vieux de la Vieille : Si leurs mains tremblent, c’est sans doute Du froid de la Bérésina, Et s’ils boitent, c’est que la route Est longue du Caire à Vilna.