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525. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. » pp. 307-327

Il faut qu’un long travail éclaire notre esprit, Pour deviner l’orage en un ciel qui sourit ! […] dans ce beau lieu paré De tes plus charmantes étoiles, Cache mon âme ; elle a pleuré ; Couvre-la bien de tes longs voiles ! […] Un jeune homme s’approche et s’informe au vieillard Comment en Méonie on attelait le char ; Tout bas la jeune fille en rougissant demande Ce qui rendait Vénus favorable à l’offrande ; Si l’épouse d’Hector portait de longs manteaux ; Si dans Milet déjà l’on tissait les plus beaux ; Où Briséis posait l’agrafe de son voile, Et si de Pénéloppe il avait vu la toile.

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