On peut se proposer une théorie des races comme point d’arrivée de longues études qui sont encore à faire ; on ne saurait l’assigner pour point de départ aux recherches qui nous occupent, si l’on veut aboutir à des résultats sérieux et solides. […] C’est celui de Vincent de Paul, qui eut une célébrité légitime et justifia l’adage que long nez est marque de bonté. […] La plaisanterie devient âcre, mordante, la passion convulsive ; l’outrance fait partout irruption ; et, au milieu de rires éclatants et saccadés, on voit grimacer la mort qui obsède les imaginations, on entend un long gémissement qui monte du fond des âmes et qui révèle la fatigue, la souffrance d’une société anémique et hystérique.