… » Après un long silence, Gottfried, parlant à Christophe ou à lui-même, demande quel besoin l’on a de chanter. […] Elle est comme une nymphe lasse auprès d’un fleuve, son amour, fuyant au long des rives et qu’elle ne sait pas arrêter. […] Et il était, durant cette longue opération, parfaitement grave et recueilli. […] Or, toute la longue histoire des Baillard est ainsi peinte dans son atmosphère. […] Vient le temps pascal : et il jeûne, il fait de longues pénitences.