Ce livre est le journal intime d’un jeune homme triste, aigri par de grands malheurs de famille, par de longues méditations solitaires, qui peu à peu se sent pris d’amour, ose le dire, et se trouve aimé. […] Son long poëme In memoriam, écrit à la louange et au souvenir d’un ami mort jeune, est froid, monotone et trop joliment arrangé. […] » Comment amollir ce cœur farouche enfiévré de colère féminine, aigri par le désappointement et l’offense, exalté par de longs rêves de puissance et de primauté et que sa virginité rend plus sauvage ! […] weeping, “I have loved thee long.” […] Dead, long dead, Long dead !