Et, par exemple, M. de Martignac a légué, sans s’en douter, un germe de mort aux journaux par sa loi de juillet 1828, loi relativement libérale, mais qui, en rendant à certains égards les publications quotidiennes ou périodiques plus accessibles à tous, les greva de certaines conditions pécuniaires comme contre-poids, et qui, en les allégeant à l’endroit de la police et de la politique, accrut en leur sein la charge industrielle.