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650. (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Taine — III »

Il devait laisser ce Livre d’amour tel qu’il était : un ouvrage dont quelques exemplaires apparaissaient sous de rares manteaux.‌ […] parce que, Sainte-Beuve l’a vu, aucune de ces questions n’est indifférente pour juger l’auteur d’un livre et le livre lui-même. Et les auteurs, cela est fort juste, veulent qu’on les comprenne, eux et leurs livres.‌ […] Peut-être même serait-il inutile de publier ses livres, ceux qui doivent les comprendre les ayant déjà compris à l’avance.

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