Comme Talma encore, Molière était grand et somptueux en manière de vivre, riche à trente mille livres de revenu, qu’il dépensait amplement en libéralités, en réceptions, en bienfaits. […] Les réputations, les génies futurs, les livres, peuvent se multiplier, les civilisations peuvent se transformer dans l’avenir, pourvu qu’elles se continuent ; il y a cinq ou six grandes œuvres qui sont entrées dans le fonds inaliénable de la pensée humaine.