Georges Rodenbach Les Frissons de l’ombre, livre d’une inspiration touffue et multicolore, d’un lyrisme qui s’exprime en rythmes piaffants, en nobles images. […] Son livre est plus qu’un joli recueil de poésies, car toutes, plus philosophiques les unes que les autres, donnent à penser, à rêver, tantôt avec désespoir, avec angoisse, tantôt avec tendresse.