Que ce soit dans un livre ou bien sur une scène, ils sont nés pour représenter. […] Quand il « réussissait », rien ne semblait plus composé, plus nécessaire et plus classique que ses livres, qu’il s’agît de César Birotteau ou du Cousin Pons, des Paysans ou d’Un Ménage de Garçon ! […] Il sut donner à chacun de ses livres une vérité différente, une différente beauté, mais une perfection semblable. […] On lit dans la Correspondance, à propos de deux livres d’amis, ces paroles : « L’un a le charme et l’autre la force. […] Eh bien, je me demande si un livre, indépendamment de ce qu’il dit, ne peut pas produire le même effet ?