Henry Bidou indique très heureusement, cette littérature le conduit d’un idéalisme exaspéré à des vues réalistes sur la vie. […] Il vit pour la littérature ; plus exactement, la littérature est sa vie. […] L’Écornifleur a, lui aussi, l’horrible manie de la littérature. […] Marcel Boulenger apparaît comme une des figures les plus aimables de la littérature contemporaine. […] On les ramasse à la pelle le long des rues, et elles encombrent les asiles de nuit de la littérature.