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624. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1882 » pp. 174-231

Ébahissement du professeur, très ignorant de la littérature contemporaine, tandis que le jeune Léon rit dans sa barbe future. […] * * * — Ils sont bons les critiques, aujourd’hui, avec la promesse qu’ils nous font du règne, sous très peu de jours, d’une littérature à la Berquin. […] C’est de la littérature, délicate, aiguisée, raffinée. […] C’est là, je crois, un symptôme de la mort de la littérature et de l’art, chez les hommes du vingtième siècle. […] * * * — Il est peut-être possible que quelques honnêtes gens n’aiment pas le vrai en littérature, mais on peut être certain que tous les malhonnêtes gens l’abominent.

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