De ce que j’ai écrit des articles de critique, il ne s’ensuit pas que j’aie les qualités nécessaires à ce travail, et encore moins que j’aime beaucoup ce genre de littérature. […] La critique serait comme le Versailles des sages de la littérature ; on n’y serait admis que sur la présentation de son acte de naissance, ou, par exception, de quelque œuvre capable de mûrir le jugement et de hâter l’expérience, poème épique ou didactique, tragédie, roman moral. […] Une armée intrépide garde, la plume à la main, tous les sentiers de la littérature. […] Elle s’est donnée d’abord comme un nouveau genre de littérature ; elle tend aujourd’hui à les absorber tous ou du moins à les dominer.