Mais il n’y a pas une littérature populaire et puis une littérature aristocratique. […] — La littérature populaire ! […] Aussitôt il chercha une littérature à son image. […] Car il n’y a pas de littérature « populaire » : il y a une littérature humaine, qui est la littérature éternelle, c’est-à-dire la littérature des chefs-d’œuvre. […] Pas de littérature spéciale pour le peuple, mais un peuple capable de comprendre la littérature universelle, telle doit être la formule éducatrice de la démocratie.