Enfin, en littérature, il a inventé le système si connu de la faculté maîtresse. […] Il n’y a pas assez de facultés dans l’esprit humain, même en descendant jusqu’aux plus secondaires, pour expliquer cette innombrable variété de talents qui illustrent l’histoire des littératures. […] Dans la littérature, dans la politique, dans l’histoire, elle cherche partout ce qui déniaise et ce qui détrompe, le petit à côté du grand et expliquant le grand, le physique expliquant le moral, l’accident plus fort que la loi, et enfin les lois fatales du climat, de la race, de l’organisation, supérieures à ces lois idéales que les philosophes s’obstinent à exposer dans ces sciences vides et creuses que l’on appelle la morale et le droit naturel.