Que si l’on prenait, en effet, le genre de littérature auquel se rapporte cette première partie en la détachant et en l’isolant, en ne la considérant qu’à titre d’abrégé chronologique ou de résumé et en la comparant à quelques-uns des ouvrages qu’on range communément sous ce titre, on la trouverait inférieure à quelques égards. […] Pierron, précisément en 1852, dans son Histoire de la Littérature romaine, met Florus presque au-dessous de son rang. » Il y a quelque malentendu en tout ceci.