Le véhicule des idées générales était créé et il s’appelait la littérature française. […] Ce jour-là toute littérature cessa et devint philosophie, législation et politique. […] Ce fut le point culminant de notre littérature. […] La littérature s’éteignit dans la poussière et au vent des factions les plus mesquines. […] Quelle influence pouvait-elle avoir sur la langue et sur la littérature française ?