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598. (1856) À travers la critique. Figaro pp. 4-2

Il n’y a qu’un amour-propre littéraire blessé à mort qui, pour satisfaire de lointaines rancunes, puisse se condamner à de telles capitulations de conscience et descendre à de pareilles… extrémités ! […] j’y entrerai peut-être un jour, et je serai reçu par M. de Matharel, qui, en galant homme, aura oublié nos petits démêlés littéraires et y fera mon éloge : — à quoi je riposterai par le sien. […] Dans les grandes solennités, il se pose en homme littéraire du journal. […] Les noms viennent en foule au bout de ma plume ; je me contenterai d’en choisir un, qui est la personnification du travail, de la persévérance, et, il faut le dire, à son honneur, de la probité littéraire. […] Mais toujours expéditif, il est le premier écrivain qui ait songé appliquer à l’imitation littéraire le décalquage de la potichomanie.

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