en tête de quelque bulletin littéraire . […] Depuis huit ans, c’est-à-dire depuis la révolution de Juillet, les écoles littéraires se sont trouvées dissoutes comme les partis politiques, et il ne s’en est pas refait d’autres. […] Tout ceci est pour dire que les écoles littéraires sont dissoutes depuis huit ans, que les limites et les garanties de caractère autour des plus nobles talents ont cédé brusquement ou graduellement à je ne sais quelle force de choses confondante et dissolvante. Cette confusion et ce tourbillon sont le signe même de la nouvelle période littéraire. […] Or, les nécessités du prospectus, de la gloriole littéraire combinée avec l’industrie et avec la concurrence, ont conduit à signer de tous les noms et prénoms les plus minces jugements.