En tout cas, je peux dire que, s’il y avait en moi quelque capital de production littéraire, la justice voulait qu’il y eût sa large part ; c’est bien lui qui l’avait découvert, je ne m’en étais jamais douté. […] Quand je me laisse aller à de périlleux abandons, où ma conscience littéraire hésite et où ma main tremble, des milliers me demandent de continuer. […] Je ne partage pas l’erreur des jugements littéraires de notre temps. […] J’ai toujours été le moins littéraire des hommes. […] Mais cela m’a été bon au point de vue littéraire.