/ 2546
2518. (1895) La science et la religion. Réponse à quelques objections

Je ne nie pas qu’il en résulte une supériorité de tenue morale, si je puis ainsi dire ; et même j’ai souvenance, il y a quatorze ou quinze ans, d’avoir scandalisé quelques catholiques en écrivant « qu’il manquerait toujours au naturalisme français, — c’était au cours d’une étude sur Georges Eliot, le grand romancier, — ce que trois siècles de forte éducation protestante ont comme infusé de valeur morale au naturalisme anglais. » Je n’ai changé d’avis ni sur ce point d’histoire littéraire, ni sur la question plus générale que je discute en ce moment.

/ 2546