» Car il s’agit — ne plus, ne moins — de la Décentralisation littéraire. […] Rousseau, pour inscrire son nom sur les glorieux registres de son état civil littéraire. […] Est-ce que la Décentralisation littéraire n’existe pas en Allemagne ? […] Aussitôt que, par Richelieu qui continue Louis XI, et par Louis XIV qui Continue Richelieu, l’unité politique est réalisée, — l’unité littéraire se fait, la centralisation littéraire (avec Paris, ou Versailles qui est alors le pseudonyme de Paris), la centralisation littéraire existe ; le seizième siècle, puis le dix-septième siècle, se lèvent, — la littérature française est née ! […] Ô province, terre bénie des tendresses et des embrassades littéraires !