Je n’ai pas tout lu, il s’en faut. […] « Qui est-ce qui lirait maintenant un ouvrage de théologie ? […] Je ne sais pas s’il avait besoin de les lire pour composer ces tableaux et ces chants : mais enfin il les avait lus. […] Avez-vous lu Fabiola ? […] Je n’avais pas lu cela depuis quarante ans et je n’en avais gardé aucun souvenir.