Il faut lire dans l’ouvrage de M. […] Chacun, en ces inquiètes années qui suivirent 1848, voulait lire Les Partageux, Les Prêtres, Le Thym. […] On y lisait quelque chose du désespoir de Judas. […] Il est vrai que, s’il les avait lus et s’il tenait à être impartial, M. Buet n’eût pas écrit le portrait étrangement idéalisé que l’on va lire et dans lequel l’original ne se fût jamais, entendez-vous bien ?