Trois élèves lisent successivement une mort, dans laquelle tous les trois avaient introduit l’agonie sardonique de la Faustin. […] Il est question du livre des Liaisons dangereuses, qu’il n’a pas lu, et que je le pousse à lire : « Lire, répète-t-il, mais on n’a pas le temps… moi je n’en ai pas le temps ! […] Mme Daudet me lit ce récit, ou plutôt elle le commence, puis s’arrête et ne veut plus lire. […] De son contemporain, il passe à Rabelais, son auteur aimé, dont il a nombre d’éditions, se vantant même de posséder le fameux exemplaire, que le Régent lisait à la messe. […] » elle dit : « Ça me fait trop d’impression, ne traduisez plus, je veux lire cela toute seule !