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631. (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)

Vous vous rappelez le passage que je vous ai lu tout à l’heure. […] Le passage est si beau, si profond qu’il faut encore que je vous le lise. […] Ortega éprouve à lire Proust et dont il note d’ailleurs lui-même la haute qualité. […] Mais d’abord je voudrais vous lire quelques lignes de M.  […] Car c’est cette densité qui arrête aussi tant de gens et les fait crier à l’ennui, avant même qu’ils aient lu trois pages.

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