Lisez-le. […] Et Flaubert les lisait, et il lui soumettait des corrections. […] (Lisez, ma cousine, Tite-Live et Horace.) […] Encore je ne sais, car ceux qui les lisent ne font aucune attention au nom de l’auteur. […] Lisez-les, ma cousine ; lisez particulièrement, dans ce livre d’un sage, les Sonnets et les Rayons d’hiver.