Avez-vous lu dans la Revue des Deux Mondes les intéressantes Lettres de M. […] L’artiste, après avoir lu, désire quelque chose : l’homme est satisfait. […] J’ai lu beaucoup de choses dans ma vie sur l’immortalité de l’âme, et je n’en ai jamais été aussi complètement convaincu qu’aujourd’hui. […] Je dirai presque qu’après avoir lu ces pages sur la mort de son vieil instituteur, on, ne peut s’empêcher de penser que Tocqueville avait la sensibilité trop vive et trop tendre, le cœur trop gros pour un philosophe.