Son asservissement à une opinion politique, qui se lève à chaque ligne de son livre pour la dominer, y fausse perpétuellement la justesse de son regard. […] et il continue, avec cette légèreté qui jette la dernière pelletée de terre sur la tête de toutes les questions : « Quelques points controversés avaient été décidés d’après les opinions des meilleurs juristes, et l’on s’était écarté de la ligne de la succession ; c’était tout, mais c’était assez. » Oui, c’était tout !