Tout à coup, une actrice, connue par le cynisme de son esprit, interrompit les doléances littéraires par cette apostrophe : « Vous êtes jeunes, vous autres, mais le théâtre au fond, mes enfants, c’est l’absinthe du mauvais lieu. » Et ladite actrice avait toujours l’habitude d’appeler les sales choses par leurs noms propres. […] J’ai donc lieu de me considérer comme un impartial et désintéressé spectateur qui regarde et juge de la galerie. […] Monval, archiviste de la Comédie-Française, qui a bien voulu, deux fois, faire la recherche, me dit que la pièce de La Nuit de la Saint-Sylvestre, et celle des Incroyables et Merveilleuses, peut-être présentée en dernier lieu, sous le titre du Retour à Ithaque, n’existent pas aux archives.