Cependant, pour peu qu’on réfléchisse, on se convainc que, quoi qu’il arrive, nous ne pouvons pas cesser d’être libres, et que les principaux abus que nous avons détruits ne reparaîtront jamais. […] Après le 10 août, posant nettement le parallèle entre les auteurs de la première révolution et ceux de la seconde, il termine par cette question : « Les premiers ont voulu l’établissement d’une monarchie libre et limitée : qu’ont voulu les autres ?