Autant vaut donc ne pas parler de couleur et déclarer que c’est très beau ; libre à ceux qui n’ont pas vu Boghari d’en fixer le ton d’après la préférence de leur esprit. » Je remarque à la fois chez le peintre écrivain et sa répugnance à employer un ton cru, et son autre répugnance à créer ou à introduire un nom technique pour un ton nouveau : l’indice du procédé et du scrupule de M. […] Fromentin, et qui nous apparaissent elles-mêmes tout inondées de lumière et de splendeur : « C’est sur les hauteurs, le plus souvent au pied de la tour de l’Est, en face de cet énorme horizon libre de toutes parts, sans obstacles pour la vue, dominant tout, de l’Est à l’Ouest, du Sud au Nord, montagnes, villes, oasis et désert, que je passe mes meilleures heures, celles qui seront un jour pour moi les plus regrettables.