On se remit à l’instant à vivre, à vivre avec délices, à jouir éperdument des dons naturels, de l’usage de ses sens, des plaisirs libres et faciles, du charme des réunions surtout et de la cordialité des festins. […] Il y avait les dîners du Temple, où Chaulieu, l’abbé Courtin et autres libres commensaux des Vendôme, célébraient Lisette, la paresse et le vin.