Je ne sais si de telles comédies sont un signe de liberté ; mais elles sont nécessairement la perte de l’art dramatique. […] Après avoir sacrifié leur gloire pour conserver leurs amusements, les Athéniens se virent enlever jusqu’à leur indépendance, et avec elle les plaisirs mêmes qu’ils avaient préférés à la défense de leur liberté.