/ 2071
30. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XXIV. »

quel espoir de liberté ! […] Jusque-là le poëte n’avait redit dans ses chants que les souffrances et les privations de sa vie sans amour, sans liberté, sans gloire. […] Il revint toutefois sur cette brûlante arène, car la patrie lui manquait encore plus que la liberté. […] Rapproché maintenant de Cuba, il gémissait de la voir encore soumise à la monarchie espagnole, et non moins privée d’indépendance que de liberté. […] Sous le nom de Tula, que lui donnaient quelques amis, elle fut aussi célèbre que toutes les espérances de bonheur et de liberté dont se flattait alors l’Espagne.

/ 2071