Nous, voulons la liberté pour nous et pour les autres. […] Nous allons plus loin ; nous admettons, pour ceux qui croient bien à tort qu’eux seuls ont raison, le droit à l’intolérance, pourvu que cette intolérance ne se traduise pas en actes contraires à la liberté des autres. […] Oui, si nous étions maîtres, nous résoudrions le problème de la liberté religieuse, que ne résoudront jamais ni les sectaires ni les irréligieux.