. — les lettres parisiennes de madame de girardin. — jésuitisme et gallicanisme. — conversion de m. ratis-bonne. — peinture religieuse et galante. […] — On vient de mettre en vente dans la Bibliothèque Charpentier les Lettres parisiennes de madame Émile de Girardin : c’est le recueil de ses anciens feuilletons de la Presse depuis 1836 jusqu’à la fin de 1839, qu’elle a légèrement revus. […] Le gallicanisme est une chose tellement mourante et morte en France, que nos évêques et archevêques, qui étaient les gardiens et défenseurs perpétuels de cette Église gallicane, vont les premiers sollicitant le pape de les autoriser à introduire dans leurs diocèses le bréviaire romain et la liturgie romaine au lieu des vieilles coutumes et réformes un peu dissidentes et appropriées qui marquaient l’originalité traditionnelle et nationale (voir dans les Débats des 3 et 4 août la lettre du pape à l’archevêque de Reims, et la réflexion très-juste des Débats le lendemain).