Or n’est-ce pas à l’éclat des lettres et des arts que se mesure la civilisation d’une société ? […] Ne voit-on pas partout les arts et les lettres en relation étroite avec le luxe, avoir besoin du luxe ? […] A prendre le premier discours à la lettre, il paraît douteux que les lettres et les arts soient des agents de corruption ; et la lettre à Dalembert provoque bien des objections, soit dans ses conclusions générales, soit dans ses jugements particuliers, comme lorsque Molière est convaincu d’avoir rendu la vertu ridicule par le personnage d’Alceste. […] Et ici apparaît la vérité profonde enfermée dans le paradoxe qu’il soutient contre les arts et les lettres. […] 4e partie, lettre 17.