Je n’ai qu’à vous rappeler les lettres de Mme de Sévigné. […] C’est une lettre absolument approbatrice. Or, Chapelain était, à cette époque-là, une espèce de surintendant des lettres, il était tout à fait officiellement à la tête de la République des lettres, il était le chef des grands conseils de la littérature, il était le maître des pensions, etc. […] Nous avons des lettres de Maucroix et de lui à cette époque ; elles sont tout à fait navrantes. […] Mais je suis sûr qu’il faut toujours finir par raconter l’existence des grands hommes de lettres.