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340. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1895 » pp. 297-383

Et encore, des lettres et des dépêches d’amis littéraires de la France, qui n’ont pu assister au banquet : des lettres et des dépêches de Sully Prudhomme, de Claretie, de Philippe Gille, de Déroulède, de Margueritte, de Henri Lavedan, de Theuriet, de Larroumet, de Marcel Prévost, de Laurent Tailhade, de Curel, de Puvis de Chavannes, d’Alfred Stevens, de Helleu, d’Alfred Bruneau, de Gallé de Nancy, de Colombey, de Mévisto. […] Mauvaise humeur d’Hertfort, qui force Lacroix à s’excuser, sur ce qu’il est très difficile de rencontrer Balzac, affirmant que Hugo et ses amis ne correspondent avec lui, que par lettres. […] Il a commencé, dans une première lettre, à m’inviter à une exposition à Barcelone, en mettant à ma disposition un yacht, qui viendrait me prendre dans tel port, que je désignerais. […] Toutefois je me crois obligé de lui adresser cette lettre. […] La traduction de la lettre m’apprenait que cette poudre, vendue très cher là-bas par les prêtres, était de la poudre qui, prise avant de mourir, empêchait la rigidité du cadavre après la mort.

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