Le second, partant de son hardi principe que « tout est bien sortant des mains de l’auteur des choses », défendit la théorie optimiste dans une longue lettre qu’il adressa au philosophe de Ferney.
Le second, partant de son hardi principe que « tout est bien sortant des mains de l’auteur des choses », défendit la théorie optimiste dans une longue lettre qu’il adressa au philosophe de Ferney.