Et même, lorsque le critique a exprimé cette pensée que chacun a ou que chacun désire, une grande part des allusions, des conclusions et conséquences, une part toute vive reste encore dans l’esprit des lecteurs. Je prétends qu’en relisant les anciens journaux et les articles de critique qui y ont eu le plus de succès, nous n’y trouvons jamais que la moitié de l’article imprimée : l’autre moitié n’était écrite que dans l’esprit des lecteurs.