En ce point était l’art, la merveille suprême, et c’était un charme pour le lecteur instruit de goûter le nouveau, tout en y reconnaissant d’anciennes traces. […] L’oreiller de l’admiration s’est senti secoué : la douce quiétude du lecteur d’autrefois n’est plus de saison. […] Quand il en vient aux modernes, aux vivants, il les désigne, sans les nommer, par leurs qualités ou leurs défauts ; les lecteurs du moment mettaient aisément des noms sous ces désignations littéraires : de si loin nous pourrions nous y tromper.