Il nous offre ainsi l’image d’un homme qui travaille avec un sérieux énorme pour nous mesurer convenablement le rire et la gaieté, et nous comprenons, envoyant la peine qu’il se donne, ce que dit Despréaux : Tel mot pour avoir réjoui le lecteur A coûté bien souvent des larmes à l’auteur. […] La profondeur schlegelienne n’a rien qui ne soit accessible aux lectrices les plus aimables. […] Nous nous contenterons de renvoyer le lecteur aux pages 68, 72, 73, 296, 298, 299, 304, 307, 323, 352, 368 du tome Ier du Cours de littérature dramatique, traduit de l’allemand par la plume anonyme de madame Necker de Saussure. […] Le lecteur verra qu’elle est parfaitement correcte : Français, sujets féconds de ma plaisanterie, Je ne ris pas de vous, mais de votre folie.