Il faut soutenir sa mère ; il y pourvoit et donne des leçons de latin, de grec, jusqu’en 1831. […] En 1848, il traduisait pour la Collection des auteurs latins, publiée sous la direction de M. […] Comment le bas latin, le latin des paysans et du peuple, de plus en plus mal parlé et estropié, mélangé et trituré avec d’anciens idiomes locaux préexistants ou des jargons d’invasion nouvelle, était-il devenu peu à peu, ici le français, là l’espagnol ou le catalan, là l’italien ? […] Les Latins ne prononçaient pas toutes les syllabes d’un mot ; les peuples du Midi chantent et ne parlent pas. Un mot latin n’était donc pas prononcé comme il est écrit.