Il fit de bonnes études, je ne sais où ni comment, mais il était plein de grec et de latin, d’Horace et de Philétas, si Philétas il y a ; au reste toute sa vie ne semble qu’une longue école buissonnière. […] Il aurait pu y joindre parmi les modernes latins Marius Molsa, dont on a, entre autres vers, une élégie ad Sodales dans laquelle le jeune mourant décrit également à l’avance son tombeau : Rivulus hæc circum dissectus obambulet unda, Clivoso qualis tramite ducta sonat… 141.