Elle apprit l’espagnol et l’italien, le latin, plus tard de l’hébreu, du grec. […] Cette veine de licence et de gaillardise qui n’avait cessé de courir dès l’origine, mais qui, aux heures brillantes et dans les belles compagnies, avait dû se recouvrir sous le chevaleresque, se démasqua au commencement du xvie siècle, et elle sembla emprunter de la Renaissance latine une audace de plus.