Il a traduit quantité d’hexamètres latins et toujours en décasyllabes, sans être averti par l’ampleur du vers latin, de l’insuffisance du décasyllabe français à le rendre. […] Il lut du latin, il lut du grec. […] Il faut « piller » ; il faut copier ; il faut s’approprier jusqu’à la « tournure » latine et grecque. […] Quand Joachim en est à parler ainsi, c’est qu’il ne songe qu’à ceux qui écrivent en latin, Virgiliens et Cicéroniens. […] La seule différence, c’est que vous le faites en français et non en latin, et elle n’est pas suffisante.